Le Cramé

Le Cramé

Legimi

Jacques-Olivier Bosco a le talent de créer des personnages hors du commun et terriblement accrocheurs : la preuve avec le héros de son nouveau polar Le Cramé. Deux ans que le Cramé et sa bande, un vrai commando, braquent les banques et vident les coffres avec une détermination et une efficacité redoutables… Deux ans qu’ils se moquent du monde et que la police est sur les dents. Jusqu’à ce qu’un traître les balance dans les filets de Fabiani, le chef de l’Antigang, qui à l’issue d’un braquage en laisse plusieurs sur le carreau et colle le Cramé au placard. Mais celui-ci n’a qu’une idée en tête : se faire la belle… et retrouver l’enfoiré qui les a donnés ! Après une évasion rocambolesque, il infiltre le commissariat de Saint-Denis et se retrouve, bien malgré lui, dans la peau d’un flic à la recherche d’un môme disparu. Mais en ressuscitant ses cauchemars de gamin des quartiers, le pire devient alors possible… Le problème avec le Cramé, c’est que même l’enfer ne veut pas de lui ! Une plongée angoissante de réalisme dans les bas-fonds de Paris vous attend dans ce polar ! Ce livre a été désigné comme le Coup de cœur des libraires par Télématin et c'est aussi le Choix des libraires du magazine  Lire.  CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE Entouré de sa bande, fidèle à en mourir, de son ange gardien, bien évidement corse, et adulé par sa dulcinée au caractère bien trempé, le Cramé est un personnage dérangeant et attachant. Dérangeant quand le moindre prétexte est l’occasion à exploser la tête du premier quidam, attachant quand sa droiture et son respect à la parole donnée nous évoquent nos premiers serments de « croix de bois, croix de fer, si je mens… L’histoire est brute, le style incisif, les phrases courtes et brûlantes. -  Alibi Mag [Le] thème de l’enfance maltraitée, des banlieues abandonnées à elles-mêmes - d’une criante actualité -, accrochent l’attention du lecteur. Le Cramé est donc un premier roman parcouru de scories stylistiques, parfois trop verbeux tant dans les dialogues que dans les monologues intérieurs. Pour autant, Jacques-Olivier Bosco écrit avec ses tripes et le fait sentir au lecteur. Le Cramé finit par emporter l’adhésion : à l’auteur de tenir ses promesses. Un premier roman survitaminé et violent - Sylvain Bonnet,  Le Salon littéraire Un roman noir, très noir, foisonnant et bien ficelé que j'ai littéralement dévoré . - Zembla, Babelio À PROPOS DE L’AUTEUR Jacques-Olivier Bosco, JOB pour les intimes, est un enfant de la Méditerranée. Le grand-père, un peu communiste, un peu journaliste, a quitté Palerme dans les années trente : on dit qu’apprenti barbier, il aurait coupé, en le rasant, un mafioso local, d’où la fuite vers l’Algérie… Ça commence fort dans la famille ! Les parents sont nés à Alger et le reste de sa famille est niçois, bien qu’à moitié italien et un peu espagnol ! Allez comprendre ! De la banlieue sud à l’Océan Indien, JOB a bourlingué un peu partout… Avec depuis toujours cette furieuse envie de coucher sur le papier des histoires destinées à vous rendre insomniaque ! En trois romans, il a su imposer son style vif, tranché, violent qui laisse tout le monde sur le carreau ! De là-haut, Giovanni veille sans doute au grain…

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