Le Ballet des retardataires
Legimi
Le Ballet des retardataires est le témoignage unique d’une des rares Européennes à avoir pénétré le monde ultra fermé et traditionnel du taïko au Japon, et la première à avoir séjourné dans l’école la plus secrète de Tokyo. Jeune Française n’ayant jamais voyagé, elle arrive pleine de naïveté dans un monde aux règles incompréhensibles, à la discipline quasi militaire et où personne ne parle anglais. Aux entraînements succèdent incompréhension chronique, fatigue extrême, typhons, tremblements de terre et fantômes. Dans ce roman initiatique, l’héroïne nous fait découvrir une facette méconnue du Japon travers cet art du tambour japonais traditionnel. Elle emmène aussi le lecteur vers cette frontière flottante où la réalité et le rêve se chevauchent. Le récit progresse au rythme des journées sans fin de l’apprentie, teinté d’une étrange poésie et d’un humour truculent. Le livre devient alors une sorte de partition, hommage au taïko si méconnu en Europe. Le Ballet des retardataires ne se lit pas, il se déguste comme un bonbon succulent, coloré et piquant. CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE « Loin des ébahissements convenus sur le raffinement nippon, Le Ballet des retardataires cache sous son titre poétique une charge assez irrésistible contre la minutie et le culte de l’obéissance… Un joli roman d’apprentissage. » Yaël Hirsch, Toute La Culture « Un premier roman percutant, dépaysant, élégant, aussi court que puissant, qui s’imprime en soi par ricochets. » Nathalie Gendreau, PrestaPlume « Avec acuité, humour et dérision, Maïa Aboueleze embarque son lecteur dans un quotidien étrange, lui révélant, touche par touche, un pays étonnant. » Notes bibliographiques À PROPOS DE L'AUTEUR Née à Alençon en 1981, Maïa Aboueleze passe une enfance pluvieuse à lire près du radiateur. La danse, qu’elle découvre à l’adolescence, la sort de sa torpeur. Une fois le bac en poche elle quitte la Basse-Normandie pour la Haute et passe un an à la Faculté et au conservatoire de danse de Caen. Elle poursuit des études de danse au conservatoire et d’histoire à l’UCO d’Angers. La Loire qui coule au loin et les effluves de Coteaux-du-Layon bercent ses ambitions : elle sera artiste. Son éducation se poursuit à Paris où elle commence le théâtre puis le taïko. En 2008 elle s’installe à Bruxelles. En tant que comédienne, elle travaille alors pour différentes compagnies et développe des ateliers auprès de publics de primo-arrivants, F.L.E. et Alpha. En tant que percussionniste, elle joue au sein de différents groupes. En 2011 elle obtient la bourse Vocatio et part perfectionner son jeu de taïko à Tokyo. Depuis son retour, Maïa Aboueleze est amarrée à Bruxelles d’où elle prépare ses prochaines aventures entre musique, comédie et voyage.
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