La Solitude du Quetzal
Legimi
Un voyage improbable pour une fuite impossibleUne rupture amoureuse. Un départ précipité.Provoquer le dépaysement. Ce sera le Guatemala. Qu'espérer d'une telle entreprise ? Tempérer la douleur en accumulant les kilomètres au compteur ? Tester l'effet de la médecine indienne sur les affections du cœur ? Renaître à soi au détour d'une ruelle chamarrée ? La terre des Mayas déploie tous ses charmes, mais l'Aventure, elle, n'est pas au rendez-vous. Reste le subtil compagnonnage littéraire d'Henri Michaux – et ce carnet écrit dans l'urgence, témoin opiniâtre d'une escapade insensée.Une introspection thérapeutique portée par un récit de voyage saisissant et agréablement dépaysant au cœur du Guatemala.EXTRAITC’était un rêve. Ce matin, place de la Constitution à Guatemala Ciudad, les touristes se déplacent en bandes comme des pigeons en quête de nourriture. Tout est bon pour cliquer et remplir l’appareil photo : le vendeur de graines dans sa cabane minuscule, les jeunes filles poussant leur chariot de fruits devant les bassins ou les grappes d’enfants qui tournent autour d’un aveugle comme des planètes affolées. Saisis par une courte prise de conscience existentielle, ils dirigent parfois les objectifs vers leur groupe, photographient les passagers de l’autocar au milieu des gamins mal fagotés qui jouent au ballon. Les mondes d’ici et d’ailleurs se côtoient un instant sur une même image.CE QU’EN PENSE LA CRITIQUE– « Carnet de route au travers d’un pays exotique et dans les profondeurs de l’âme de l’écrivain blessé, La Solitude du Quetzal est un livre original et prenant. » – BettieRose Books– « Ce voyage, ce récit, c'est un très beau moyen d'occuper le temps, non pas de la guérison, mais de la cautérisation ! Si le voyage ne change rien aux faits, le temps passé à voyager aide à apprendre à vivre avec les faits... Jacky Essirard nous a fait profiter du voyage et c'est tant mieux ! » – Version Libre– « Littérature nomade, chronique d’un territoire inconnu, carnet de voyage, itinéraire dans un pays qui n’est que le sien, « La Solitude du Quetzal » de Jacky Essirard est un questionnement philosophie [et] métaphysique sur la rupture, la fuite, la disparation de soi. » – Sabine Faulmeyer, Le Petit Carré JauneÀ PROPOS DE L’AUTEURJacky Essirard est né en 1949 et vit à Angers. Il a publié des recueils de poésie, écrit des nouvelles et illustré de nombreux livres d'artistes. La Solitude du Quetzal est son premier roman.
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