Industrie Vaccinale
Legimi
Un éclairage saisissant sur les vaccins et les pandémies. Chacun se souvient de la célèbre prestation télévisée d’un grand professeur d’université, expliquant aux populations que le nuage provenant de l’explosion de la centrale nucléaire de Tchernobyl s’était arrêté juste aux frontières de la France, en avril 1986. Depuis, le bilan de cette catastrophe est revu régulièrement à la hausse, par les experts confrontés à la réalité du terrain. Avant et depuis cette triste date, la liste des scandales sanitaires n’a fait qu’augmenter : Thalidomide et ses malformations de l’appareil locomoteur ; Distilbène, interdit aux USA depuis 1976, mais prescrit en France jusqu’en 1982 chez la femme enceinte et responsable de stérilités et de cancers génitaux dans la descendance ; hormone de croissance - où les pièces à conviction ont disparu (ou ont été brûlées « accidentellement ») et où l’instruction fut particulièrement longue (plus de 16 ans !) ; sida, sang contaminé, où la notion de « responsabilité sans culpabilité » a été créée par nos politiques ; hépatite C ; « vache folle » ; vaccin hépatite B précédé des ignominieuses expériences réalisées au Willowbrooke State Hospital de New York où l’on inocula le virus responsable de l’hépatite B chez des enfants handicapés, entre 1965 et 1971, afin d’élaborer un vaccin plasmatique, administré ensuite à 3 000 homosexuels américains, en 1980, dont 87 % contractèrent ensuite le « sida »… À tout cela s’ajouteront à l’avenir les scandales de l’industrie vaccinale qui n’est ni scientifique, ni rationnelle, ni médicale, mais relève de lubies mercantilo-politiques. Silences, manipulations de la vérité scientifique et contrevérités justifient « le droit essentiel pour l’homme de connaître et de comprendre ». Découvrez, dans cet ouvrage fourni, un éclairage différents sur le monde des laboratoires et des vaccins. EXTRAIT Selon le Journal du dimanche du 30 mai 2009, la France — mais sans doute également les États-Unis, voire d’autres pays occidentaux — s’orienterait vers une massive campagne de vaccination contre la grippe A/H1N1, à l’automne, pour un coût total d’un milliard d’euros. Après avoir commandé 50 millions de doses à GlaxoSmithKline, la France devrait en commander 50 autres millions à Sanofi et Novartis ; ces trois labos ayant par ailleurs reçu des commandes des USA, de la Grande-Bretagne… Deux injections, dont le rappel, seraient donc prévues en plus de la vaccination contre la grippe saisonnière. Quelques jours plus tard, le professeur Sylvie Van der Werf, directeur d’une unité de recherches à l’Institut Pasteur, confirme que toute la population devrait être vaccinée contre le nouveau virus A/H1N1, dès que le vaccin, en cours de préparation, sera disponible. « Je n’imagine pas une seconde que la diffusion s’arrête et que ce nouveau virus disparaisse comme par enchantement », estime cette spécialiste des virus à Pasteur, un des deux centres nationaux de référence pour la grippe. « Nous allons être conduits à vacciner tout le monde, au Nord, comme au Sud, dans les pays riches comme dans ceux en voie de développement. Et mon avis est que le plus vite sera le mieux, compte tenu de l’évolution actuelle. » Elle reconnaît cependant que « nous ne sommes pas à l’abri d’un changement qui augmenterait sa virulence et sa transmissibilité. Les chercheurs sont en train de répertorier toutes les mutations “dangereuses” possibles.
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