Cabine 288, rue Brigal

Cabine 288, rue Brigal

Legimi

Pourquoi Jacotte Tripatin tient-elle autant à la cabine téléphonique 288 ? Quel est le lien entre une petite ferme belge et une bande de la mafia russe ? L' histoire tourne autour de la cabine téléphonique 288, rue Brigal, à Bruxelles, prête à être démantelée par Belgacom. Elle revêt une importance capitale pour l'héroïne du roman, Jacotte Tripatin, pour de multiples raisons. C'est l'histoire d'un cadavre découvert dans la cabine, d'un enlèvement, d'une bande de mafieux russes et d'une ferme avec ses deux habitants, la fermière Iris et son fils, Bébert. Jacotte et Jef, deux seniors retraités, s'ennuient et se voient propulsés dans une enquête pas comme les autres, tout en ne perdant pas de vue leur projet « cabine » à valeur socio-culturelle et l'avenir de Bébert, fort compromis par les circonstances. Ce thriller belge vous emmènera dans une enquête étrange, menée par deux retraités, où se mêlent un cadavre, un enlèvement, la mafia russe, une fermière et son fils ! EXTRAIT — C'est une façon de voir les choses, Jacotte, c'est vrai que depuis l'« affaire », rien ne sera jamais plus comme avant. — Du négatif, on ressort toujours du positif, Jef, ne l'oublie pas. Avec un léger soupir de bien-être, il dépose d'un geste élégant son verre de Spritz sur la desserte à roulettes et allonge un tendre baiser sur les lèvres de Jacotte. Même à soixante piges, on peut vivre dangereusement mais, si l'affaire incroyable où elle l'a entraîné a fameusement boosté leur vie tranquille, voire morose, un sentiment étrange s'y est immiscé, celui d'avoir encore et toujours les pieds embourbés dans un marais. — Tu verras, chérie, avec le temps va, tout s'en va. Elle se dit alors que la présence d'un être aux airs inoffensifs et singuliers à côté d'elle, comme Jef Moulinot, sur lequel le temps et les humeurs des gens ne semblent guère avoir de prise, la rassurera. À PROPOS DE L'AUTEUR Martine Roland - L’écriture est une passion. Plus jeune, j’y ai goûté comme beaucoup. À un âge plus mûr, elle devient, au fil des circonstances, une nécessité. Elle m’entraîne sur des routes bien différentes, qu’elles soient tortueuses et menaçantes dans mes thrillers psychologiques noirs ou fantaisistes et colorées dans ma première comédie déjantée à suspense, Cabine 288, rue Brigal. Licenciée en philologie classique retraitée, je me passionne aussi pour la lecture, les arts quels qu’ils soient, la nature, sa protection et les projets sociaux.

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