Le cri du Yéti
Legimi
N’avez-vous jamais eu cette sensation de vous perdre dans une relation, un travail, une vie qui ne vous ressemble pas ? C’est ce que Clémence a ressenti lorsqu’elle comprit que Laurent se souciait peu de ses sentiments.Elle décide alors de retrouver et partir à la rencontre de celle qu’elle a perdu depuis des années : Elle. À ce moment précis, Clémence ne peut encore imaginer que pour la liberté d’une jeune femme, elle sera prête à déplacer des montagnes. Le Cri du Yéti est un concentré d’émotions et de prise de conscience en nos propres capacités. Il nous pousse à nous dépasser et à ouvrir les yeux sur ce qui nous entoure. Un parcours initiatique émouvant qui mêle une trame philosophique aux ressorts du roman policier. EXTRAIT - Enfin chérie, peux-tu arrêter de vociférer comme ça et avoir un discours cohérent, s’il te plaît ! Tu m’énerves ! - J’ai un discours cohérent et je ne vocifère pas ! - Oh que si et d’ailleurs tu me casses les oreilles. Nous sommes venus ici pour passer un bon moment et j’ai mal de tête. - Désolée ! - S’il te plaît, ne joue pas en plus la carte de l’hypocrisie ! - La totale on dirait... - Je dois sortir les violons ? C’est ça que tu veux ? CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE Ce livre est court mais très intense. C'est un récit à fond philosophique, révoltant, poignant et même déchirant. - Delex, Babelio À PROPOS DE L'AUTEUR Petite fille, née en hiver d’un père d’origine bretonne et d’une mère ardennaise, j’ai affiché très rapidement un caractère trempé. Aujourd’hui, je suis professeur de cours philosophiques. Active et engagée, mes objectifs pédagogiques et mes travaux d’écriture sont tous tournés vers la réflexion humaniste, certains avec force et désespoir, d’autres avec l’ironie propre aux vrais sensibles, mais toujours avec le même dénominateur commun : la condition de l’Homme, ses espoirs et ses doutes. Cet engagement citoyen m’a valu la reconnaissance de mes pairs avec le prix de la Fondation Reine Paola pour l’enseignement, le prix de la Communauté Française de Belgique et le prix Condorcet-Aron. En 2003, j’ai été Namuroise de l’Année et reconnue « Enseignant Entreprenant ». Certaine que les actes prévalent sur les paroles, j’affiche une attitude résolument anti-tartuffe en disant qu’il n’est pas nécessaire d’avoir une face de Carême pour défendre la vie car défendre la vie c’est l’aimer. J’apprécie cette réflexion de Zola qui dit qu’il faut savoir où on veut aller, que c’est bien... mais que c’est encore mieux de montrer qu’on y va et il m’arrive d’ajouter « Tu veux du bonheur? Donne du bonheur... »
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